Flash, c'est le maaaaaaaaal !

swflash.pngOui, sans doute, mais moi je veux pouvoir lire un fichier .swf dans mon eOS basée sur Ubuntu (distribution Elementary OS Loki), alors les considérations à la noix de barbutégristes ça me les brise menu.
Donc, je cherche, et je trouve, des solutions pour que ça se fasse automatiquement dans mon navigateur pour les fichiers en ligne, sans prise de tête ni convocation du Congrès.
La dernière en date, trouvée chez Vincent Mabillot est LA solution qu'il me fallait pour les fichiers en local (sur mon disque dur).
J'explique le pourquoi (en ce qui me concerne) et le comment (en reproduisant dans les grandes lignes la méthode trouvée par Vincent Mabillot, qui lui-même l'a trouvée sur ask ubuntu).
Dans le cadre de mon boulot (mais également à titre perso pour les machines que j'utilise et qui tournent sous cette distribution Linux) j'ai besoin (et parfois envie de me faire une partie de Space Invaders en Flash) de pouvoir lire des fichiers en .swf en local (autant qu'en ligne).
Pour que cela soit possible en local, c'est tout bête.
D'abord, en mode admin, on va dans /home/*votre_profile*
Ceci fait, on active l'affichage des fichiers cachés (clic droit sur un partie vide du dossier puis on sélectionne Afficher les fichiers cachés).
Ensuite, toujours dans ce dossier, on y créé (s'il n'y existe pas déjà) un fichier texte vide que l'on nomme : .mime.types
Dans ce fichier (tout juste créé ou déjà existant), il faut mettre le contenu suivant :

application/x-shockwave-flash swf swfl

On enregistre le fichier et on quitte le mode admin.
Maintenant, on va dans le dossier où se trouve le fichier (local) au format .swf que l'on souhaite lire.
D'un clic droit dessus, on accède à ses propriétés et l'on vérifie (et on précise si ce n'est pas déjà le cas) que ce type de fichier s'ouvre (par exemple) avec le navigateur Web Firefox.
On valide les propriétés et on double clic sur le fichier que l'on souhaite ouvrir et, ô miracle (*), ça marche !

swflash-invaders.png
A moi les parties endiablées !

(*) Note to self : penser à sacrifier un ou deux mômes pour remercier les dieux de l'informatique...

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